mardi 16 janvier 2007

Les clotures de Cannes Grand Parc reculent!

Les habitués l'auront constaté. Les clotures de Cannes Grand Parc ont été démontées pour être déplacées au nord du chemin dit "Brougham" c'est à dire le plus près de la propriété.
Le promoteur a signé en 2005 une convention avec l'association Rose Saint Jean qui veut réhabiliter les chemins piétonniers afin de mettre à la disposition du public un hectare, réduisant ainsi le domaine à 12 hectares alors qu'il a été vendu aux copropriétaires comme étant de 13
. La mairie, dans le cadre de l'aménagement du parc forestier, a réalisé un chemin dans cet espace rendu public mais restant la propriété de Cannes Grand Parc. Mais l'emplacement de la cloture a été fixée au nord du chemin conformément aux souhaits de l'association et du promoteur qui a cédé. Et ce sans consulter les habitants qui apprécieront la démarche et la considération qui leur est portée par les uns et les autres.
L'Aful CAnnes Grand parc s'est renseignée sur les possibilités juridiques de modifier le cours des choses, c'est à dire uniquement l'emplacement de la cloture de manière à disposer de ce chemin pour le passage éventuel de camions incendies, mais aussi pour assurer la sécurité du domaine et l'entretien et aussi, il faut le dire pour l'agrément qu'offre ce chemin.
L'Aful ne consteste pas l'action de ceux qui défendent les chemins piétonniers, ni cet espace rendu public mais se demande pourquoi offrir ce deuxième chemin en paralléle de l'autre.
L'aspect esthétique est également très important puisqu'il y avait autrefois une cloture au sud du chemin en haut du talus, dissimulée par la végétation. Pourquoi ne pas avoir choisi cette solution? Les exigences des "Rose St-Jean" sont apparemment des ordres. Résultat, la cloture va couper le chemin dont l'Aful conserve une partie, accessible par deux portillons successifs et à condition d'emprunter la partie publique! kafkaien!
Mais c'est comme cela et on ne peut rien faire dans l'immédiat sinon continuer à se battre sur le terrain pour limiter les nuisances, ce qu'hélas on craint.

Aucun commentaire: